« As for the white shark, the white gliding ghostliness of repose in that creature, when beheld in his ordinary moods, strangely tallies with the same quality in the Polar quadruped. This peculiarity is most vividly hit by the French in the name they bestow upon that fish. The Romish mass for the dead begins with “Requiem eternam” (eternal rest), whence Requiem denominating the mass itself, and any other funereal music. Now, in allusion to the white, silent stillness of death in this shark, and the mild deadliness of his habits, the French call him Requin. (Melville’s note.) » Où Melville rapproche le blanc fantomatique du requin de celui de l’ours polaire pour en arriver au nom que les Français lui ont donné : « La messe des morts chez les Catholiques commence par le “requiem eternam” [sic] (le repos éternel), par extension le requiem désignant la messe elle-même et tout type de musique funéraire. Par allusion au calme silencieux propre à la mort de ce requin et au caractère fatal de ses habitudes, les Français l'ont appelé requin. »