Éparpillement de la lecture. Je ne parviens pas
à poursuivre
Duchêne, Mr Sammler
et
Atonement. Je m’attache pour l’heure à La Mala Hora, publié en
1966, traduit seulement vingt ans plus tard (assez mal, du reste, dans la
présente version). Le traducteur pourrait réviser son français avant de se
lancer dans le détail d’une autre langue : la confusion entre « détente » et
« gâchette » à plusieurs reprises, p. 14, 15 ; puis « je n’y comprends que
couic… » p. 87, et cette bizarrerie, p. 104 : « Par un jour comme celui-ci […],
il avait refusé de donner une sépulture chrétienne à un pendu que les durs
habitants de Macondo ne voulaient pas enterrer. »
10 septembre 2003