Je l'avais lu dans le verger de
chez Betty et David il y a deux ans. Nous revenions de Barcelone, le temps était
magnifique. Sue
exposait son corps et c'étaient nos premiers vrais jours
ensemble. Il n'est pas sûr que la lecture d'un tel texte dans de
telles circonstance ait été adaptée. Elle ne l'était pas. Je m'en
suis rendu compte lorsque Tibère en a parlé en cours, le
vantant. Je m'en rends compte
aujourd'hui que je suis sur le point de l'achever. Beau texte,
à propos de la peinture, du regard, de la vision ; belle réflexion,
condensée, ramassée pour exprimer l'essentiel. Je n'ai pas
encore pris connaissance de mes précédentes notes. J'y ajoute
les suivantes (voir marque-pages)...