J’ai lancé une nouvelle vague d’épuration de ma bibliothèque principale, treize livres au total, dont Le Mépris de Moravia. Pourquoi ai-je la certitude de l’avoir lu et possédé en italien ? Le souvenir que j’en ai est que la « version » de Godard est très fidèle au texte ; ça m’avait déçu. Je le relirai en italien. Le marque-pages porte quelques notes (les « i » sont encore écrits avec des ronds)...