«
On constate en grec le renforcement de mots, à l’initiale ou en finale,
par des voyelles protégeant ainsi des consonnes qui auraient tendance à
disparaître. Cette tendance à la disparition se constate dans les noms de
nombres où le s des racines de “ six ” et “ sept
” a été remplacé en grec par une aspiration, alors que la consonne finale
est “ protégée ” par un a, ce qui donne hexa
et hepta. »
J’aime bien cette idée d’une lettre
protectrice,
comme une mère son fils…