« relâché »
Il passe une radio. « Le médecin examina les radios refaites. Il n’y avait rien d’anormal. Je fus relâché. » Si j’avais été amené à lire les épreuves (ou si Amiko, par exemple, l’avait employé), je pense que je l’aurais laissé ; au nom de « l’étrangéité »…
157 « je me souviens »
« Je me souviens. J’avais trois ou quatre ans. » Ça, par contre, je ne
l’aurais pas laissé passer : « je m’en souviens » (ou « je me le rappelle »)…
176 idem
« C’était au quatrième étage, je me souviens. » C’est étonnant, au même titre que « partir en », qu’après toutes ces années d’études, notamment attachées à la grammaire, il fasse ce type de fautes…
178 AKIRA M, et non l’inverse ?
« […] je vois la date d’acquisition et mon nom écrits au crayon à papier : samedi 25 novembre 1972 : Akira Mizubayashi. » Jamais un Japonais ne placerait le prénom avant le nom (ou il l’aurait délibérément écrit à la française, en tout état de cause à l’occidentale, mais il aurait été intéressant qu’il le précise)…