Je l’avais interrompu en cours de route à cause de La Joconde, m’étais promis d’en dire quelque chose, mais quoi sinon que ça m’a plu. Je relève tout de même ce passage de la quatrième de couverture (j’y ai jeté un œil pour vérifier si c’était autobiographique – ça l’est) : « […] d’une simplicité désarmante [comme la majorité des textes japonais toutes époques confondues], il raconte avec une allégresse et un humour dévastateurs […]. » L’allégresse et l’humour en question apparaissent peut-être dans l’original, ou sont perceptibles par l’œil japonais, pas ici ; je dirais même qu’il s’agit d’un texte grave (ton autant que contenu : des parents confrontés à la décision de leur petit garçon de devenir moine zen ; c’est le père qui raconte). Qui s’occupent des quatrièmes de couverture ?...
21 mars 2025