Il s’agissait de l’exemplaire d’Éléonore que je lui avais offert avant notre départ pour le Japon. Il y a deux jours, je suis passé à la librairie de la galerie pour acheter un cadeau d’anniversaire pour Léo. J’hésitais entre le Petit Robert des noms propres (il se promet de l’acheter depuis des lustres) et L’oiseau à ressort. Finalement, j’ai pris les deux. Mais Éléonore a tiqué, a pensé, à juste titre, que c’était excessif, et peut-être de « mauvais goût ». J’ai acquiescé et décidé de glisser le second dans ma bibliothèque...
30 août 2004