Je viens de tourner la dernière page des Chroniques de l’oiseau à ressort. Je regarde cette page, puis fais défiler du pouce la totalité de l’ouvrage, m’attarde sur la page du titre et le repose. Je viens de passer une quinzaine de jours avec ces sept-cent-douze pages lues par petites doses et à présent, je me sens perdu, comme si un ami venait de me quitter...

 

30 juillet 2004