« Certes, il tenait un parapluie à la main alors qu’il faisait beau temps,

ce qui attirait un peu l’attention, mais n’avait pas l’air d’un SDF. »

 

C’est bien l’auteur qui l’écrit et c’est d’autant plus étonnant car c’est l’une des choses qui m’avait frappé au Japon : l’utilisation de parapluies, en guise d’ombrelles, par temps ensoleillé. En même temps, rien ici ne dit qu’il fasse soleil. (Et qu’est-ce que cette phrase est mal fichue...)