Minuit, je suis revenu à l’écran après avoir passé deux bonnes heures avec Kafka, Oshino, Oshima, Nakata et miss Saeki. L’écriture relativement négligée me fait souvent tiquer, mais le flux est trop fort et je me laisse emporter par ce récit merveilleux, dans le sens le plus pur du terme. J’arrive au terme, l’achèverai sans doute cette nuit. (Il est étrange comme je visualise tous les personnages, les vois comme dans un film – j’espère qu’il ne se fera jamais...)
3 février 2008