« Ce que j’aime dans les puces, c’est qu’elles me font découvrir des endroits et des lieux où autrement je ne serais jamais allé. » (Cette phrase m’était venue alors que je lisais Modiano – qui m’ennuie un peu – ; je ne parviens pas à formuler ce à quoi elle était liée – en vérité, c’était lié à la découverte hier d’un lieu à Lette dont je ne soupçonnais pas l’existence et j’avais ensuite relié cela aux puces – mais j’ai déjà dû en parler : mon regard sur les façades des maisons, par exemple, inédit, alors que jusqu'alors je n’y prêtais pas attention)…
14 octobre 2015