Au café, Mylène nous a raconté sa toute fraîche « mésaventure ». Elle revenait de la librairie de la galerie d’où elle était sortie avec trois livres sous le bras sans se rendre compte qu’elle n’avait pas payé. Ce sont trois Folio, trois Japonais (deux inconnus de moi), classiques du début du vingtième. Le troisième est Dojoji qu’elle a acheté suite à ce que j’en avais écrit dans Journals. Je lui ai dit tout le bien que j’avais pensé de L’oiseau à ressort ; elle m’a alors dit qu’elle avait souvent pensé à moi en le lisant, j’aurais pu écrire ce genre de livre. C’est tout à fait mon avis. (Il en va de même pour Danse...)