[...] les mignardises de Léo, auxquelles s'ajoutent quelques délicatesses reçues du Japon : le thé vert dans des sachets de soie, les crackers à base de poisson et d’algues ; puis la discussion à propos de Corinne Atlan et de ses traductions (deux romans que Léo nous montrent, Ikezawa, Akasaka ; combien en traduit-elle par an ?) ; du « mal écrit » d’origine, notamment chez Murakami (ça me rassure un peu) ; la prise de position de Corinne Atlan en tant que traductrice : s’en tenir à l’original, même s'il est mal écrit, et se garder de l’arranger, de l’améliorer ; elle confirme que les textes sont pris tels quels, sans relecture...

 

6 janvier 2005