Sur la route en direction de Terrace, Doriane et moi parlions de Murakami. Elle me disait qu’elle avait adoré Au sud (qui ne serait pas du goût de Corinne Atlan) ; de là, de la manière d’aborder l’ordinaire, de lui conférer une dimension qui l’extrait de l’ordinaire (extraordinaire, donc), dimension dont le roman est dépourvu, justement...
19 décembre 2004