Calme tout à coup au rez-de-chaussée. J’en profite pour me caler (couler ?) dans le sofa jaune du salon de lecture avec un café, une cigarette et le NFR 327. Je survole les deux lettres de Yourcenar qui le closent (?), réponses au courrier d'une lectrice de laquelle elle n'a plus eu le moindre écho. Je ne sais pourquoi, cela m'a laissé songeur. Comme le silence persistait, je me suis assis au piano pour reprendre Jacques et Benoît...

 

19 avril 2006