J’avais rendu Zuydcoote à Éléonore et, il y a quelques jours, je l’avais retrouvé sur mon bureau. Que faisait-il là ? Par réflexe, je l’ai pris et feuilleté, et ai alors constaté qu’il fourmillait de croquignols de toutes sortes, un véritable florilège. Comment se fait-il que je ne l’avais pas remarqué en en lisant quelques pages dans la voiture ? (Mais ils sont disposés en groupes : une dizaine de pages, puis une trentaine sans rien avant une nouvelle dizaine de pages, ainsi de suite jusqu’à la fin ; le hasard me l’avait fait ouvrir à une partie vierge.) Je ne les relève pas tous, ils sont trop nombreux (et je me demande aujourd’hui jusqu’où cette entreprise a un sens). En voici quelques uns, assez déroutants pour la plupart (plusieurs couleurs, plusieurs types de tracés, alternance de Stabilo et de stylo à bille ; est-ce le même lecteur ? – et pourquoi ces quatre pages, en particulier ?) (J’en possède déjà un exemplaire ; vais-je aussi conserver celui-ci ?)

 

1er juin 2021