« En lui parlant, je pensais à mon père que je n’avais plus revu depuis longtemps. À dix-neuf ans, au même âge que moi, avant de se perdre dans des rêves de haute finance, il vivait de petits trafics aux portes de Paris : il franchissait en fraude les octrois avec des bidons d’essence qu’il revendait à des garagistes, des boissons, et d’autres marchandises. Tout cela sans payer la taxe de l’octroi. »
Était-ce pendant la guerre ? Si oui, de quel octroi s’agissait-il ? Comment pouvait-il passer ces fameux octrois, sans en payer la taxe, sous le nez des Allemands ? Si non, est-il possible qu’avant guerre, de tels octrois aient encore existé ?