Je tente de me vider l’esprit en poursuivant la lecture de Diario. Ce n’est pas inintéressant, pas palpitant non plus. Magaletto fait son rapport : les gens (de la Cour en général) qu’il rencontre, les intérieurs, les musées, églises qu’il décrit par le menu ; c’est davantage au nom de l’italien que je continue, italien qui n’a que peu bougé en trois siècles et, d’une certaine manière, me semble plus confortable (mais peut-être suis-je mieux disposé que je ne le pense)…

 

9 janvier 2002