Notes :
p. 284 : « La vérité, squelette des apparences [...] » ?
p. XIII de la préface, je relève dans un poème, le fameux
vers :
« Le cœur d'un homme vierge est un vase profond. »
p. XIV : le nom de Fantasio, qui fait directement suite à l'opposition « Coelio/Octave », c'est-à-dire le personnage et son double, ou l'auteur et son personnage comme double, ou l'auteur et son complice/ami qui lui est comme un double, parallèle (« Octave, le sceptique, le débauché, le brutal, et Coelio, le croyant, le délicat et le tendre ») qui, immédiatement dans mon esprit, m'a mis face à Gabriel dont le nom de Fantasio serait comme une troisième ligne, médiane et moyenne, équilibre des excès et des débordements, la fantaisie comme une directrice, ou mieux : une conductrice (guido : je conduis), Fantasio qui s'annonce tout à coup comme une sonnette à mine de signe (mais qui est-ce donc déjà, Fantasio, dans la littérature ?)... Sans oublier la « fantasy » anglo-saxonne, « imagination »...
18 mai 1997