Le mot revient bien une vingtaine de fois dans toute la revue pour qualifier tout et n’importe quoi (qui) et jamais à bon escient (Montesquiou, Gide, Proust, Wilde… – encore que pour se dernier…). (Je ne sais plus quel cycliste dans L’Immonde avait été qualifié de « dandy »…) Il ne suffit pas d’avoir une canne, un haut-de-forme et une redingote pour être un dandy ; le fait que ma voisine ait un dictionnaire chez elle ne la transforme pas en écrivaine…