En contradiction avec le désir de la reconstruction : pourquoi chercher à reconstruire

 ce qui est déjà là, voir « masse » « marbre » ; le temps est un et un tout :

« […] je l’avais reconstruite tout entière et meublée comme un architecte […] »

alors que précédemment :

« Tous ces souvenirs ajoutés les uns aux autres ne formaient plus qu’une masse, mais non sans qu’on pût distinguer entre eux […] sinon des fissures, des failles véritables, du moins ces veinures, ces bigarrures de coloration qui, dans certaines roches, dans certains marbres, révèlent des différences d’origine, d’âge, de “ formation ”. »

 

L’image du marbre est juste et forte : tout est là, à portée de main, d’œil et d’esprit.

La reconstruction n’a pas lieu d’être… (Y a-t-il de la nostalgie chez lui ?...)