« […] ; je passais la plus grande partie de la nuit à me rappeler notre vie d’autrefois à Combray chez ma grand’tante, à Balbec, à Paris, à Doncières, à Venise, ailleurs encore, à me rappeler les lieux, les personnes que j’y avais connues, ce que j’avais vu d’elles, ce qu’on m’en avait raconté. »
En somme, La Recherche est un immense flash-back. Ça ne m’avait
frappé à la première lecture – sans doute parce que j’étais vierge...