Pause Onfray, j’ai repris Man Ray. C’est de plus en plus mal écrit, la traductrice s’en fout complètement et traduit littéralement – et je ne peux incriminer une quelconque « machine », ça date des années soixante. Ça me gêne et m’agace au point que j’ai envie d’arrêter ; mais il me reste une soixantaine de pages et ses réflexions (celles de Man Ray) compensent un peu – la traduction et l’écriture autant que ses petites histoires de temps à autre sans intérêt (comme la fois où il se fait arrêter en voiture par un flic : « vous avez vos papiers ? » « oui, voilà » « très bien, merci », ça tient une page)… Je poursuis aussi Mai, doucement, sans me presser, en essayant de ne pas me tracasser, de ne pas penser au travail qu’il exige. Pas de nouvelles de Léo, à ce propos. Il y a huit jours, il m’avait écrit qu’il était au tiers de L’Archiveur et depuis, silence…
30 janvier 2025