Notes :

 

40 « numéro bleu tatoué » et juste avant Gestapo…

 

Je l’ai effectivement arrêté à la page 40 : à la lecture de ce fragment de phrase, j’ai soupiré et l’ai définitivement refermé. Dommage, l’alternance des voix des deux protagonistes de ce couple « illicite » était plutôt prometteuse. (« Gare de Lyon, 19 h 17 », heure à laquelle ils doivent se retrouver – et où, sans aucun doute, ils ne se retrouveront pas –, m’a fait imaginer un quiproquo quant au lieu de rendez-vous, comme dans La Rue, où un homme et une femme devaient se retrouver à telle heure à la gare de Vienne, mais l’un allant à celle de France, l’autre à celle d’Autriche. Je pourrais peut-être en tirer profit pour un texte…) (Elle découvre qu’il est le fils d’un déporté juif, lui que son père – à elle – avait été tortionnaire nazi. Aïe aïe aïe…)

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31 octobre 2020