Parmi les livres de ce matin, il y avait un Mandiargues, Beylamour, chez Pauvert, 1968. Je ne l’ai pas ; je l’ai lu après le repas au jardin le temps d’une cigarette. C’est un petit essai (une réflexion ?) à propos de De l’amour de Stendhal. Qu’est-ce que je pourrais bien en dire compte tenu du fait que je ne sais rien de De l’amour et ignore pratiquement tout de Stendhal ? Rien. Comme il est abîmé, je vais le conserver…

 

30 mai 2019