De la difficulté à prendre la décision de saisir le stylo plutôt que le clavier. Je l’ai prise tout de même, salle 03, avec ma quatrième cigarette, les trois premières ayant été consacrées à Mishima, laborieusement, à cause de l’écriture, mauvais français, j’accroche sans cesse dessus et il me distrait du propos. C’est sans doute pour la même raison que je n’ai gardé qu’un mauvais souvenir du Pavillon d’or et du Marin ; des réécriveurs sont indispensables. Mais qui s’en soucie ? et qui les paiera ?

 

5 juin 2006