C’est drôle, mais j’attends avec une certaine impatience le moment de « rejoindre » Matzneff. J’ai même failli le prendre au bureau ce matin. J’ai « dû » attendre l’après repas pour m’y remettre. Je note que ce journal-là (un autre aurait-il eu le même effet ?) me donne envie de m’y remettre, je veux dire d’une manière régulière et assidue et sans négliger les détails...
1er avril 2010