Matzneff n’est pas un écrivain : il livre son journal brut sans le moindre souci de corrections qui souvent, en l’occurrence, me semblent indispensables (fautes élémentaires de français, construction, syntaxe, rythme) ; c’est sans doute au nom de la fidélité et, par voie de conséquence (du moins, je présume), de la vérité. L’écriture et la littérature n’ont que faire de la fidélité et de la vérité. Je testerai un de ses livres hors journal...