Je ne sais plus que dire, lis presque mécaniquement. Je bute sans cesse sur les horreurs de l’écriture, c’est épouvantable, impossible de passer outre. Le pire, c’est que je suis persuadé que la majorité des lecteurs n’y trouveront rien à redire, englués qu’ils sont dans le processus du laminage de la langue...
25 septembre 2011