Bureau. J’ai repris vaille que vaille la lecture de Cent ans de solitude et je ne parviens toujours pas à m’y attacher, je ne sais pourquoi, et en lisant, tout en fumant ma première cigarette (neuf hier), je pensais au journal, y pensais sans me décider à l’ouvrir, sans savoir ce que j’allais y mettre, et en me disant que quoi je puisse y mettre, je serais trop étourdi par cette première cigarette pour avoir les idées claires, pour tenir correctement le stylo, pour faire aller proprement la plume sur le papier. J’y suis, pourtant…

 

28 novembre 2001

retour