Je me sens mieux. J’ai passé la soirée d’hier à traîner jusqu’à minuit, heure à laquelle, de peur d’être tenté de fumer une huitième cigarette, je suis allé me coucher avec un livre, une fois n’est pas coutume. De nouveau et en vain, j’ai tenté de mettre la main sur Cent ans de solitude, et, en désespoir de cause, me suis rabattu sur Le Foudroyage d’André Stil...
23 octobre 2001