Mon bureau surchargé, des papiers, des bouquins qui s’entassent : un rangement s’impose. Je commence par les livres, dont Cent ans de solitude qui allait connaître le même sort jusqu’au moment où je me suis aperçu qu’y figurait un marque-pages. En outre, je ne parviens pas à me départir d’une gêne vis-à-vis d’Éléonore qui aime tant ce livre ; il ne me déplaît pas, mais j’ai beaucoup de mal à m’y tenir. Je vais faire une dernière tentative...
6 février
2002