Je suis passé rue du Trou à la recherche de bouquinistes qui n’y sont plus, et de là, en pensant à ma gencive endolorie qui nécessitait un bain de bouche, me suis dirigé vers la Pharmacie des Chiens Cagneux. Mais je risquais de tomber sur le pharmacien ou pire, la pharmacienne (bavarde). Alors, j’ai renoncé pour prendre la rue du Lézard où se tient désormais la librairie Gérard (mais sont-ce les mêmes ? est-ce un fils, un cousin ?). Des bacs à l’extérieur, j’ai prélevé quatre livres dont Le troisième jour de La Varende...

 

27 octobre 2004