J’ai entamé La valse triste. Je lis dans la présentation qu’il en fait (il y parle de son adolescence) : « les jeunes gens avaient alors le droit de chercher, de s’interroger, de s’écouter… » C’est écrit en 1953. De l’éternel « C’était mieux avant » qui, évidemment, m’agace, formule bête et stupide qui me surprend un peu sous sa plume (on peut être conservateur, voire réactionnaire, et intelligent tout à la fois) et, sans nul doute, n’aide pas à ce que j’accroche à ces quelques pages que je viens de traîner...

 

14 juin 2006