Je suis tout de même stupéfait de n'avoir pas laissé le moindre commentaire au sujet de ce livre dont plusieurs des textes sont somptueux. En même temps, je suis persuadé d'en avoir écrit quelque part ; mais où, si ce n'est ni sur le marque-pages, ni dans le cahier ou dans un quelconque carnet ? Ou ai-je encore été abusé par le phénomène de la « pensée suffisante », c'est-à-dire, penser à ce que je vais écrire, cette pensée se substituant à l'écrit et rendant de ce fait l'écrit parfaitement inutile, ou pour le moins accessoire. Ou, autrement dit : je pense à ce que je vais écrire et donc je l'ai écrit. Les exemples sont multiples...

 

26 septembre 2005

 

retour