Notes :
J’en suis à la p. 58, il parle beaucoup de Céline avec renfort de citations : on dirait Sollers.
« La tante à Bébert… », « On riait dans l’ascenseur. »
Je n’ai pas noté la page tant j’étais persuadé de ne pas l’oublier. Et je l’ai oubliée… Où est-elle ?... Je la retrouve page 64 : « La tante à Bébert rentrait des commissions. » Cette phrase l’a marqué d’une manière indélébile. J’ai immédiatement pensé à ce vers d’un poème de Lilas (il me semble même qu’il s’agissait du titre) : « On riait dans l’ascenseur » qui a eu exactement le même effet sur moi. « On riait dans l’ascenseur »…
68 « chants grégoriens »
Et le voisin au portable dit : « Qu’est-ce que c’est que ce con avec sa musique de curetons ? » TGV, classique
du voisin au portable. Lui chausse son casque (ou les écouteurs) pour écouter des chants grégoriens.
95 il va chez Rohmer et dit « il est l’auteur du Genou de Claire »
Mais il joue dans le Genou de Claire… Il parle de cette rencontre avec Rohmer comme s’il s’agissait de la première fois alors qu’il a déjà tourné avec lui. « Le cinéaste alors est à son sommet. […] Il est l’auteur du Genou de Claire, des Contes moraux […]. »