Depuis trois jours, je lis quelques pages de Luca à voix haute et mes pensées s’offrent des mots et des phrases en italien, parfois ma bouche que je surprends à parler d’elle-même, lorsque je fume dans la patio, par exemple. De temps à autre, j’ai des hésitations, confonds avec l’espagnol.

 

24 juin 2011