« […] la capacité du Japon, dans ses manifestations les plus modernes, de se sentir en solidarité avec son passé le plus lointain. Tandis que nous autres nous savons bien que nous avons des « racines », mais nous avons le plus grand mal à les rejoindre. Il y a un fossé que nous n’arrivons plus à franchir. Nous les regardons de l’autre côté du fossé. Au Japon, il y a une espèce de continuité, si je puis dire, ou de solidarité qui, peut-être n’est pas éternelle… mais qui existe aujourd’hui encore. »