Je lis Thinks… sur le balcon en peignoir. (Quelques coureurs, c’est tout
– je ne les envie pas.) J’ai l’impression de lire la suite de Pnin à
cette différence près qu’ici une femme raconte. Milieu universitaire, ça ne
m’accroche pas. (J’ai du mal à lire en pensant qu’une femme écrit…) Non : j’ai
du mal à ne pas penser qu’il s’agit d’un homme, ou à penser qu’il ne s’agit pas
d’un homme…