Avant-hier, c’était le départ en retraite de Mylène (petit déjeuner – alors qu’elle s’était refusée à faire quoi que ce soit et ne voulait rien ; je pense que finalement, elle avait senti que, d’une manière ou d’une autre, elle devait marquer son départ). J’avais beaucoup de choses à en dire, ça avait suscité beaucoup de réflexions en moi, mais à présent, ça s’est estompé. Hier, j’avais donné rendez-vous à Mylène à la terrasse du Klee pour lui remettre son cadeau, Lisbonne n’existe pas, que j’avais prélevé de ma propre bibliothèque. Nous avons passé une petite heure ensemble. J’aurais aussi beaucoup de choses à en dire, je n’en ai pas l’énergie pour l’instant. Au soir, j’étais chez César qui avait réuni la « bande » pour son projet d’association « socioculturelle ». Il y avait Humbert, Antek, Boniface, Omer, Marcus. Je tâcherai de développer plus tard (à la saisie, par exemple)… (Je ne suis pas sûr que Lisbonne soit une bonne idée, ni, finalement, un bon livre – il ne m’en restait pas grand-chose, sinon rien ; j’ai relu ensuite ce que j’en avais écrit à l’époque de sa lecture. Quoi qu'il en soit, je vais le racheter...)
19 juin 2015