Clin d’œil à Éléonore : Lodge parle des
femmes de la quarantaine, de la classe moyenne, qui, plutôt que de se laisser
aller à une aventure extraconjugale pour laquelle elles sont « mûres »
[sic], se lance dans la dépense inconsidérée de vêtements, dans la cuisine,
dans la lecture de livres qui mettent en scène des femmes sensibles et matures
ayant des aventures, et s’inscrivent à l’Open University.
Seul ce dernier point est commun à Éléonore, bien entendu (quoique pour les
vêtements…).