Puis de l’Église et de la contraception (encore
interdite dans les années soixante), et Lodge écrit, après avoir relevé le
caractère de gravité du péché que constitue la contraception :
« For unlike others
sins of the flesh, it had to be committed continuously and with premeditation
if it was to have any point at all. It was not, therefore, something that could
be confessed and absolved again and again in good faith, like losing one’s
temper, or getting drunk, or, for that matter, fornicating. »
« Car, à la différence des autres péchés de chair, il
devait, s’il devait avoir quelque utilité, être commis sans interruption
et avec préméditation. Par conséquent, ce n’était pas une chose qui
pouvait être confessée et absoute de bonne foi à plusieurs reprises, comme la
perte de contrôle de soi, l’ivresse, ou, puisque nous en parlons, la
fornication. »
Il ajoute cette parenthèse « intéressante » :
« (A nice question
for casuits : was fornication more or less culpable if committed
using contraceptives ?) »
« (Une belle question à l’attention des
casuistes : la fornication est-elle plus ou moins blâmable lorsque elle
est commise avec des contraceptifs ?) »