+ changement des rites (deuxième paragraphe) :
Les changements de rites en cette année 1963, dont la
révision de la messe est désormais traduite en langage vernaculaire : le
prêtre fait face aux fidèles et l’office fonctionne sous forme de
dialogue entre fidèles et prêtre ; le jeûne eucharistique réduit à une
heure ; les fidèles reçoivent la communion à chaque messe (primitivement,
ce n’était réservée qu’aux personnes de grande sainteté et qui se
confessaient fréquemment).
Puis :
« Typical devotions
of Counter-Reformation Catholicism such as Benediction and the Stations of the
Cross dwindled in popularity. Rosaries gathered dust at the backs of drawers.
The liturgy of Holy Week, previously of a length and tedium only to be borne by
the most devout, was streamlined, reconstructed, vernacularized,
and offensive references to the “ perfidious
Jews ” were removed from the prayers on Good Friday. »
« Des dévotions typiques du catholicisme de la Contre Réforme,
telles que la Bénédiction et les Stations de la Croix, ont perdu de leur
popularité. Les rosaires ont pris la poussière au fond des tiroirs. La liturgie
de la Semaine sainte, dont, auparavant, seuls les plus fervents dévots
pouvaient supporter la durée et l’ennui, a été rationalisée, remodelée,
mise en langage vernaculaire, et les références offensantes aux
“ Juifs perfides ” ont été retirées des prières du
Vendredi saint. »