Je ne suis pas allé aux puces ; me suis levé tard, cassé, fatigué ; ai eu beaucoup de mal à aller à la poste. Au retour, j’ai poursuivi Le Clou. Cet homme a quelque chose d’extraordinaire. Il soude, conduit des grues, travaille dans les mêmes conditions que les ouvriers japonais, étonnés qu’il partage leur sort alors qu’il pourrait très bien vivre tranquillement dans sa paroisse de Kawasaki en donnant des cours.
2 mai 2015