J'oubliais deux notes :
Pourquoi m'arrêter sur ces mots tout à coup ?
(« [...] quand le film s'est voulu représentation
d'une réalité imaginaire. »)
Qu'ont réveillé ces mots en moi ?
p. 1125 : Bela Balazs
Donné comme théoricien du film... en 1924. Il dit
:
« Nous pouvons comparer le metteur en scène aux
improvisateurs qui reçoivent d'un tiers tout au plus une idée, une brève
description générale, tandis qu'ils créent le texte eux-mêmes... ! Pour cette
raison, le film n'a rien de commun avec la littérature. »
Porte ouverte, en somme...
22 mai 2001