Achevé. J’ai été complètement pris par les dernières pages, à partir du Péché Mignon (et même un peu avant à partir de la rencontre avec l’auto-stoppeur), je ne pouvais plus me détacher des mots et me disais « comment ça va finir ? comment va-t-elle s’en sortir ? pourvu que ça ne soit pas une fin bête ». Et c’est une fin bête, grotesque. Quel dommage. (Comment aurais-je achevé ce récit ? En cul-de-sac, c’était la seule solution, la seule fin juste. Elle a voulu mettre un point final, et ce qu’il ne fallait pas faire…) (Cette fin transforme son texte en scénario de téléfilm.) Je ne sais pas pourquoi, j’ai pensé à Modiano, à plusieurs reprises, au fil des dernières pages…