Toute la conclusion serait à reproduire. Mais, en résumé : une terre hostile, peu de surface cultivable, la faim, les famines, l’unité pour se préserver et : « Le refuge, c’est l’art, à tous les niveaux sociaux, et l’art chante toujours la fragilité du passage terrestre. Le Japonais est triste, intimement triste. La gaîté n’est chez lui qu’une forme transitoire du désespoir. »