« […] l’absence de flânerie, d’escapades, de promenades prolongées, de rêveries d’après dîner le long d’une route nous surprend. » « On admire au passage les coins appréciés, les intervalles ne sont que mouvement et on perçoit l’absence de réactions devant ce paysage inorganique, fait de nature brute, de montagnes et de bois empilés, comme une branche de pin à laquelle le sécateur de l’artiste n’aurait pas donné son vrai sens de représentation du monde. »