« C’est une horrible bestiole de parfois dix centimètres et ma maison a l’orée des bois en est infestée. Quand on l’écrase ses longues pattes se détachent et font gedji-gedji pendant quelques secondes, ce bruit est devenu son nom populaire. Suivant les cas il est mauvais ou bon. C’est un symbole de vigueur comme l’anguille et l’animal de Bisha-mon-ten. »

Une note à Bisha-mon-ten, transcrit en kanji, quatre bizarrement : je reconnais mon (la porte),
ten
(le ciel), mais pour bisha¸ figurent deux kanji différents dont aucun ne m’est connu. À vérifier. La note :

« Quant à Bishamon (transcription phonétique du sanscrit Vaiçramana), il est le dieu
qui garde la région du Nord […] Il est réputé pour être un possesseur de trésors fabuleux. »